17.2.06

La tarte aux fraises : encore une contradiction du capitalisme ultra-libéral

Alors comme ça il y a des fous furieux qui défendent coûte que coûte la liberté d’expression, et qui pensent qu’on n’aurait pas du interdire la publication des caricatures de Bernadette Chirac avec un bâton de dynamite dans la chatte.

Helas... Ces fous, ce sont les ultra-libéraux. Liberté, liberté, ils n’ont que ce mot à la bouche. Ok : imaginons un monde où l’on peut tout dire et tout publier. On pourrait donc imaginer la publication d’une bonne recette de tarte aux fraises – si si, c’est plausible. Mais si la recette est vraiment bonne, les gens vont préférer confectionner leurs tartes aux fraises eux-mêmes chez eux, plutôt que d’aller l’acheter toute prête dans les supermarchés. A terme, cette liberté d’expression remet donc en cause l’industrie de la tarte aux fraises, pilier du capitalisme mondial.

Bien sur la tarte aux fraises n’est qu’un exemple et le même schéma peut être appliqué à mille autres choses. On peut imaginer par exemple des recettes de hamburgers qui viendraient concurrencer MacDonald, véritable clef de voûte de l’impérialisme globaliste américain supra-libéral. A terme, c’est tout ce système qui s’effondre, sous le poids de ses contradictions (comme l’avait prévu Marx).

L’affaire des caricatures de Bernadette en salopette a donc mis en évidence une nouvelle absurdité du capitalisme ultra-libéral. Mais les ultra-libéraux ne veulent toujours pas comprendre, ils sont vraiment trop cons.

2 commentaires

Blogger Mlle_G a écrit...
N°3 est vraiment en forme,

Ca me met de bonne humeur ces posts.
à 4:54 PM
 
Blogger melodius a écrit...
Moi aussi ça me fait rire, encore que je me serais volontiers passé des plaisanteries douteuses au sujet de Bernadette Chirac. Un peu de galanterie, de grâce.
à 5:43 PM
 

Enregistrer un commentaire

<< Retour à l'accueil