Gâtisme populiste d'irresponsable socialiste
Ce matin, sur BFM, un journaliste interrogeait M. Delebarre, ancien ministre d'Etat socialiste, sur les annonces du gouvernement Raffarin.Et, comme d'habitude, lorsqu'il s'est agit de la réduction drastique du nombre de fonctionnaires (pensez donc, 8.000 fonctionnaires en moins, ça en fait du monde), cet édile a relancé le couplet "il faut voir quels fonctionnaires vont être touchés, parce que s'il s'agit d'infirmières, de policiers ou d'enseignants"
Eh bien, monsieur Delebarre (si je respectais la fonction politique, je devrais plutôt écrire M. le Ministre), je crois qu'il est temps d'apprendre une réalité de notre pays : la fonction publique ne se résume pas à des infirmières, des policiers et des enseignants.
Et cet argument à la con que les politiciens (politichiens comme dirait Claire...) socialistes nous ressortent sans arrêt ne fait plus réagir personne. Il faut se renouveler. Il fut un temps où le PS était un parti d'avant-garde, synonyme de modernisation et d'avancée. C'était en 81, les socialistes arrivaient au pouvoir et changeaient le monde (enfin, plutôt la France) Et le pays s'est modernisé.
Mais ce sont toujours les mêmes socialistes qui nous bassinent avec leur vision éculée du monde. Nous ne sommes plus en 1981, messieurs. La France, vous l'avez changée, et elle a du mal à s'en remettre. Vous avez gonflé les effectifs de la fonction publique, mais pas avec des policiers, ni des infirmières, mais avec ce gras qui plombe notre économie mais surtout nos libertés.
Que voulez-vous faire de plus ? Transformer tout le monde en fonctionnaire à la solde de l'Etat ? Tout le monde totalement réduit à l'état de larves sans passion ?
Alors, 8.000 fonctionnaires en moins ? Vous me faites rire. C'est la fonction publique tout entière qu'il faut supprimer.
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