4.6.04

Le capitalisme, c'est comme le sexe: chiant à mourir

Vous pensiez que les néo-cons étaient de vilains ultra-libéraux capitalistes ? Point du tout, la preuve dans cet article du Washington Post.

En 2000, William Buckley et Irving Kristol regrettaient même la fin de la guerre froide. Diable, il faut se mettre à leur place, comment construire un empire si le vulgaire ne pense qu'à consommer, payer le moins d'impôts possibles et ne pas avoir l'état dans les pattes ?

Et puis le capitalisme, aux yeux d'intellos de haut vol du genre de nos deux compères, quel ennui ! William Buckley déclarait ainsi:

The trouble with the emphasis in conservatism on the market is that it becomes rather boring. You hear it once, you master the idea. The notion of devoting your life to it is horrifying if only because it's so repetitious. It's like sex.

Voilà qui sont ceux que d'aucuns nous présentent comme des libéraux: des mal-baisés anti-capitalistes.

(article trouvé par l'intermédiaire de l'excellent site libertarien Antiwar.com)

2 commentaires

Anonymous Anonyme a écrit...
Le monde serait vraiment triste sans AntiWar.com.
à 1:37 AM
 
Blogger melodius a écrit...
Ce genre de commentaires sans intérêt seront dorénavant effacés, surtout si leur auteur est anonyme.

Je laisse celui-ci pour que les commentateurs putatifs puissent voir ce qu'est un commentaire promis à la poubelle.
à 2:30 PM
 

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