Le surgauchisme : maladie sénile de l'ULBisme
La liberté de circulation est un principe que nombre de jeunes "conscientisés politiquement" affirment partager sans restriction. Il semble pourtant que ce droit s'arrête à l'entrée de l'ULB, dont l'accès a été bloqué par des gueulards gauchistes opposés à la "privatisation du campus".Il est d'ailleurs amusant (enfin, façon de parler !) de constater qu'ils barricadent ce site comme s'ils s'en octroyaient de facto (et donc usurpent) la propriété, de la même manière que l'Etat ferme ses frontières aux immigrés déclarés clandestins. En somme, ils privatisent ce terrain à leur propre profit (idéologique), visant ainsi à inculquer aux masses étudiantes prolétarisées (on rigole, on rigole) leur idéologie mortifère et stérilisante.
Ensuite, du point de vue du renversement de la réalité, il est intéressant de noter le débordement sur sa gauche de l'idéologie ULBiste, dont les dirigeants se voient reprocher leur "ultralibéralisme"... Il y a de quoi se frotter les yeux d'ébahissement, quand on sait que c'est en cette enceinte qu'y enseignent les derniers marxistes de Belgique et qu'une salle porte le doux nom du tyrannique Salvador Allende.
Enfin, autre signe d'inversion des faits et d'alter-réalisme, relaté également dans cet article de La Libre Belgique les obstructeurs à la circulation se plaignent de la "violence" des étudiants qui osent leur résister et souhaitent, ô les traîtres, étudier paisiblement. L'histoire ne dit pas si des séances de rééducation sont prévues dans l'immédiat à la Jefke à base d'à-fonds vodka-bacardi et autres "gueules en terre".
L'ULB forme décidément de la graine de vopos.
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