1.1.05

Socialisme flamingant

En septembre dernier, CPS avait déjà relaté certaines facéties des politiciens jacobins flamands ici et ici. Désormais, et c'est dans la logique même du nationalisme protectionniste qui fait la quasi unanimité dans les cénacles politiques nordistes, les candidats aux logements sociaux établis dans cette région ne devront plus seulement, pour être admis, sortir une carte de parti ou être pistonnés par un politicien local, mais également prouver qu'ils connaissent la langue de Vondel.

Cette conséquence supplémentaire du contrôle politique de l'immobilier devrait, à mon sens, dessiller de nombreux yeux, d'abord, sur la réalité politique flamande qui ne vaut guère mieux que le marasme bruxellois ou wallon, et ensuite, plus généralement, sur la vraie nature des logements sociaux : mini-Etats où le politique a le dernier mot.

1 commentaires

Blogger Chitah a écrit...
On a ça aussi en France, par exemple à Paris c'était plutôt la carte RPR sous Chirac.
à 1:42 AM
 

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